Notre histoire
Une amitié de longue date
Benjamin et Jonathan se connaissent depuis l’âge de 6 ans. Meilleurs amis depuis l’enfance, ils avaient pris chacun des chemins professionnels différents.
Pour Benjamin, c’était l’informatique, et pour Jonathan, l’ingénierie thermique.
Au fil des années, ils se sont lancés dans la fabrication de bières artisanales, en amateurs, installés dans le garage familial.
C’est finalement 2 ans plus tard, en 2015, que les deux amis décident de se lancer dans l’aventure entièrement et sous le nom de La Garonnette!
La brasserie
La Garonnette ?
Le sous-titre « micro-brasserie toulousaine » porte les convictions
des deux hommes: une fabrication à taille humaine implantée dans notre belle ville rose.
Pourquoi La Garonnette ?
Le nom de la brasserie devait pouvoir refléter l’ancrage de celle-ci dans les racines toulousaines. C’est tout naturellement que ce nom a pris tout son sens : au début du 20ème siècle, Toulouse possédait quelques brasseries artisanales dont une proche de La Garonnette, ancien bras de la Garonne qui délimitait avec le cours principal du fleuve l’île de Tounis. C’est ainsi que notre brasserie met en avant l’héritage culturel des brasseries artisanales toulousaines de l’époque!
Avec un total de trois cuves de brassages, cinq fermenteurs isobarres ainsi qu’une ligne d’embouteillage en isobarre, La Garonnette brasse chaque semaine, 2 000 litres de caractère toulousain !
Notre démarche
Matières premières
sourcées en France
Prestataires
locaux
Revalorisation
des résidus
Les matières premières (malts, houblons et levures) sont principalement sourcées en France. Nous avons notamment un partenariat avec la Mairie de Toulouse et sa régie agricole « le Domaine de Candie » afin d’intégrer de l’orge bio Toulousain dans nos bières.
Nous souhaitons également valoriser les entreprises françaises en collaborant au maximum avec des prestataires locaux (imprimeries, cartonneries, graphistes et autres professionnels) tels que Albert Oenologie (Gaillac), Studio Formo (Toulouse) ou encore l’imprimerie 1001 (Toulouse).
Nous revalorisons également nos drêches (résidus de malt) en fournissant un agriculteur de la région pour son élevage bovin. Ces drêches servent de compléments alimentaires.
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